Selon nos sources, les routiers pourraient se joindre au mouvement tout comme un certains nombre d'usines touchés aujourd'hui par des plans sociaux : les salariés de Fralib à Marseille, PSA, Petroplus, Arcelor Mital ou Novartis étudieraient des actions fortes pour paralyser l'activité économique du pays. D'autres syndicats, comme Sud Rail, étudient encore la pertinence et le bien-fondé d'un tel mouvement. Plusieurs délégués de Sud contestent l'efficacité d'un mouvement qui serait "noyé dans la masse européenne". Plusieurs réunions de concertation sont prévues au cours de cette semaine du 5 au 10 novembre.
*source : deplacementpros.com