Comme annoncé début septembre, les voyageurs d’affaires présents dans le terminal 1 de l’aéroport de Nice auront le choix de passer ou non par l'appareil, appelé officiellement scanner de sûreté. Les passagers qui ne souhaitent pas utiliser cet appareil controversé - entre autres en raison de son atteinte à la vie privée - auront à leur disposition un portail classique. Ce test sur trois mois a pour objectif de faire une évaluation sur une vingtaine de points comme le gain de rapidité, la perception des passagers et des personnels… Si l’étude est concluante, les scanners corporels pourraient être déployés sur d’autres aéroports de l’Hexagone.
*source : deplacementspros.com