Des compagnies comme Brussels Airlines sont concernées par le mouvement. Selon Sandra Langenus, porte parole syndicale, citée par le quotidien Le Vif, "Deux travailleurs inexpérimentés pour un avion de 180 personnes, c'est effectivement trop peu et de surcroît dangereux". Côté direction, on regrette le mouvement engagé alors que les négociations étaient en cours. Une rencontre est prévue ce 13 mai à 13 heures. La poursuite de cette grève, qui pénalise fortement les arrivées avec des retards pour la livraison des bagages entre 20 et 50 minutes selon les appareils, est liée aux résultats de cette première réunion de travail.
*source : deplacementspros.com